Je déménage!

Vous vous demanderez pourquoi j’ai décidé de plateforme, et à quelle plateforme je suis allé ? Alors, je vous réponds tout de suite, je suis allé sur Wordpress. Pourquoi ? Parce que Wordpress offre beaucoup plus de libertés aux blogueurs et que c’est que je recherche. Donc, voilà, je suis passé là-bas.

Je serais très content que vous me suiviez dans mon nouveau blog, avec un nouveau thème, une nouvelle plateforme, je décide de commencer l’année de mon blog sous de bons auspices.

Voici le lien du blog sous wordpress. A savoir, je ne supprime pas celui-ci, mais il sera pas forcément mis à jour !

http://letteraturaa.wordpress.com/

vendredi 10 juin 2011

Le dernier homme bon, A.J.Kazinski

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Quatrième de couverture : Un tueur sévit à travers le monde, avec des cibles pour le moins singulières : médecins, militants des droits de l’homme, avocats…Tous œuvrent pour le bien. Les meurtres sont d’autant plus étranges qu’une marque représentant une suite de nombres indéfinissables figure chaque fois sur le dos des cadavres. Niels Bentzon, négociateur au sein de la police de Copenhague, reconnu pour son talent mais incompris par ses homologues, est persuadé que c’est au Danemark qu’aura lieu le prochain drame. Mais qui peut être la future victime ?

Aidé par l’astrophysicienne Hannah Lund, Niels va tenter de décrypter les brûlures laissées sur les victimes. Personne ne prend au sérieux ces deux personnages un brin fêlés, pourtant brillants, dont la quête devient de plus en plus impossible. La clé de l’énigme réside dans ces chiffres – mais que signifient-ils ? Qui est le mystérieux assassin et que cherche-t-il à montrer ? Véritable page-turner, Le Dernier Homme bon combine profondeur psychologique, action et suspense jusqu’au dénouement qui surprendra plus d’un lecteur.

Traduit du danois par Frédéric Fourreau

Derrière A. J. Kazinski se cachent Anders Rønnow Klarlund et Jacob Weinreich. Scénariste et réalisateur, Rønnow Klarlund a fait ses débuts d’écrivain avec le roman Les Dévoués. Weinreich, scénariste, écrit des romans depuis une dizaine d’année, dont plusieurs sont destinés à la jeunesse. Le Dernier Homme Bon.

Mon avis : Ce livre m’a été gentiment offert par JC Lattès par l’intermédiaire de Clubdelecture, j’ai lu ce livre en cinq jours, alors que j’avais peur de le commencer, vu le nombre de pages.

Cependant, le nombres de pages n’importe peu lorsque l’on s’installe pour commence à lire ce chef d’œuvre. Personnellement, cette lecture passait très vite, je ne voyais pas les pages tellement que l’action était abondante. Donc, c’est un livre dans lequel on ne peut s’ennuyer, car l’action est toujours présente. C’est pourquoi, vous lirez ce livre en moins d’une semaine.

L’action, dans ce livre est abondamment présente, car l’histoire est fondé sur une enquête de meurtres en série dans le monde, donc le début consiste à montrer quelques affaires pour l’exemple, la suite est constitué de l’enquête, pas comme dans les livres policiers, car l’enquête tourne autour de quelque chose d’autres, quoi ? Cependant, l’action n’est pas toujours présente, elle se fait parfois oublié pour revenir de meilleur forme. C’est le style des auteurs, il commence par des enquêtes, donc de l’action, mais l’enquête finie, l’action chute quelque peu pour donner lieu à un temps de repos. On peut par exemple s’ennuyer pendant ces chutes, mais il faut persévéré pour revenir de nouveau à l’action. Je trouve que ce phénomène peut être tant bénéfique au livre, il crée un effet d’attente, comme sur moi mais peut aussi être considéré comme un défaut, car l’action peut décevoir l’attente, ce qui n’était pas pour ainsi dire mon cas. Donc, j’ai trouvé que cela était plutôt une bonne idée.

Parlons un peu des personnages, qui étaient très ambigües, mais leur caractère apparaissait au cours de la lecture. Prenons le cas pour Niels, le personnage travaille à la police de Copenhague comme négociateur, on peut assister à son métier lors de sa négociation avec un suicidaire, mais il a un problème, il a la phobie des voyages, donc c’est pour cette raison qu’il n’a pas suivi sa femme Kathrine. On sait qu’il est maniaque-dépressif, sinon, on ne sait pas grand chose. Mais c’est par la suite qu’on découvrira un caractère très bon, qui le lancera quelque part. Je trouve que ce personnage est très intéressant, il mérite de se pencher dessus, car on apprend sa vie et tout ce qui va avec tout le long de la lecture. Donc, le livre est très bien conçu pour permettre une découverte progressive du personnage.

Je trouve que ce livre est très bon en général, mais il y a un hic, le début qui ne commence pas tout de suite. On peut comprendre que l’auteur prend le temps de décrire la vie des principaux personnages, mais cela ne laisse pas place à la véritable intrigue. Donc, cela peut causer un tort à l’auteur, on pourrait croire qu’il est ennuyant, alors que c’est faux.

Au contraire, je pense que ce livre est mon coup de cœur du mois, car c’est un nouveau style pour moi qui lisait une autre lecture. J’ai découvert ce style qui se partage entre le policier et le thriller. Je pense lire davantage de thriller à partir d’aujourd’hui. De plus, c’est mon coup de cœur car le style de l’écriture est vraiment bien, on découvre l’action avec ses mots, bien choisis.

Parlons de la fin qui m’a vraiment permis d’apprécier cette œuvre, car elle consiste à chambouler tout ce qu’on savait, en donnant un tout autre ordre, car le destin est au premier plan vers la fin, c’est inévitable, mais l’on ne sait vraiment pas si cela va se passer. Donc, à la fin, les auteurs font un bon mélange entre la science et la religion, pour arriver à une entente, car les deux apparaissent dans l’intrigue.

Dans l’intrigue, on se beaucoup de questions sur les raisons de tuer des bonnes personnes, qu’elle serait le motif ? On se pose beaucoup de questions au début pour venir à une avalanche de réponses de la part du livre. Un pure bonheur, une expérience unique.

En disant science et religion, j’ai pu constater agréablement que dans ce livre, il est question de la relation ambigüe entre ces deux matières, car il y a Hannah qui représente la science contre la nature et la Bible qui sont la religion. Cette confrontation est vraiment bien construite, car l’on bouscule entre ces deux matières, mais ici, la science aide la religion est vice-versa.

Pour conclure, j’ai adoré et dévoré ce livre, j’espère retrouver encore de si bons livres à lire, donc, évidemment je vous conseille de le lire.

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